Table des matières : Introduction ; 1. La proposition : des situations aux faits ; 2. La situation, 2.1. La situation partagée, 2.2. Les limites de la situation, 2.3. Les modes d’interprétation des stimuli, 2.4. Perception directe, mémoire et témoignage ; 3. La situation n’est pas un « grand fait » composé de faits plus petits ; 4. Les faits n’existent pas indépendamment de la proposition ; 5. Le fait comme « qualité » d’une situation, 5.1. Le problème des « (...) faits négatifs », 5.2. Analogie, comparaison et métaphore; 6. Il n’y a d’autre situation que la situation actuelle, 6.1. Temps et situation actuelle, 6.2. La situation et les dépendances causales, 6.3. Les faits dans le passé et la situation actuelle, 6.4. Les faits dans le futur et la situation actuelle ; 7. Convergence et cohérence, 7.1. Convergence et pertinence, 7.2. Cohérence et vérité. (shrink)

Arguments pro and contra convergent realism - underdetermination of theory by observational evidence and pessimistic meta-induction from past falsity- are considered. It is argued that, to meet the counter-arguments challenge, convergent realism should be considerably changed with a help of modification of the propositions from this meta-programme’s “hard core” and “protecting belt”. Maybe one of the ways out is to turn to the coherent theory of truth. Some of the works of Hegel (as interpreted by Merab Mamardashvili and Alexandre Kojev), (...) Husserl and Heidegger can help to dig still deeper into the background of this theory. Key words: Husserl, Heidegger, Hegel, convergent realism, internal realism, coherent theory of truth. -/- . (shrink)

Nearly every common theory of truth has been attributed to Nietzsche, while some commentators have argued that he simply has no theory of truth. This essay argues that Nietzsche's remarks on truth are best situated within either the coherence or pragmatist theories of truth rather than the correspondence theory. Nietzsche's thoughts on truth conflict with the correspondence framework because he believes that the truth conditions of propositions are constitutively dependent on our actions.

Russell prétend qu’un examen des croyances est indispensable pour définir nos raisonnements quotidiens et comprendre ce que les philosophes entendent par la notion de vérité. Cela étant, l’auteur considère qu’une étude de ces croyances n’a aucun rapport avec la logique, laquelle concerne uniquement le vrai et le faux. En d’autres termes, Russell associe croyance et psychologie tout en réservant le domaine de la logique au thème de la proposition, vraie ou fausse par définition. Une certaine théorie de la vérité sous-tend (...) son rejet primordial d’une logique épistémique ; si la croyance a un intérêt philosophique, c’est parce que Russell se sert de son examen pour discerner la théorie de la vérité que défendent plusieurs philosophes : la théorie de la vérité-cohérence est une cible principale du Britannique, qui défend pour sa part une théorie de la vérité-correspondance en caractérisant la proposition par sa relation de correspondance ou de non-correspondance avec un fait. (shrink)

La philosophie contemporaine connaît une demi-douzaine de théories de la causalité. À l'époque de Kant et de Hume leur nombre a été moindre, à l'avenir on peut s'attendre à ce que leur nombre continue d'augmenter. Parmi les affirmations faites par ces théories sur la nature de la causalité, certaines sont compatibles entre elles, mais beaucoup ne le sont pas. Par conséquent, ou bien quelques-unes de ces théories sont fausses, ou bien elles ne portent pas sur le même objet. Dans ce (...) dernier cas, il y aurait plusieurs genres de causalité : différentes théories diraient quelque chose de correct à propos de différents genres de causalité. Dans cette situation, il apparaît judicieux de commencer par poser deux questions méta-théoriques : quelle est la tâche d'une théorie de la causalité, et quelles sont les données dont une telle théorie doit tenir compte ? Dans une portion considérable de la littérature philosophique sur la causalité, on cherche en vain une réponse claire à la question de savoir si le but de la théorie est l'explication du concept de causalité sous-jacent à notre pratique effective de jugement, ou au contraire sa révision. Cela va souvent de pair avec l'absence d'une justification du fait que la relation que la théorie se propose de définir peut bien être appelée relation causale. Certaines théories de la causalité hautement élaborées sur le plan technique, comme par exemple certaines variantes probabilistes de la théorie de la régularité où les théories plus récentes du transfert, donnent parfois l'impression que c'est la physique qui détient le monopole de définition en ce qui concerne la nature de la relation causale. Un représentant de la théorie du transfert affirme avec un pathos scientiste inébranlable „que la science physique a découvert la nature de la relation causale dans un large ensemble de cas“. Mais comment les sciences de la nature pourraient-elles découvrir quelque chose de ce genre ? La clarification de l'essence de la relation causale est une tâche philosophique par excellence qui relève plus particulièrement de la métaphysique. Le fait qu'il soit souvent nécessaire, au cours d'une recherche métaphysique, de faire appel à des connaissances scientifiques, ne change rien à l'affaire. Il s'agit d'une tache de métaphysique descriptive, que Strawson a caractérisée comme l'entreprise qui consiste à dégager les traits les plus généraux de la structure effective de notre pensée sur le monde. L'idiome causal est profondément ancré dans les langues naturelles ; et le concept de causalité que nous possédons effectivement se reflète dans notre pratique de jugements causaux. Cela ne signifie pas qu’il soit possible d'extraire directement de cette pratique un concept cohérent de causalité. Notre pratique de jugement possède de nombreux aspects et n'est pas dépourvue d'éléments douteux. Pour des besoins philosophiques, notre pratique effective de jugement a besoin d'une certaine discipline ; c'est en ce sens que je parle de la pratique éclairée de jugement causal. Je considère que c'est notre pratique éclairée de jugement causal qui fournit les données dont la théorie de la causalité doit tenir compte ; et la tâche primordiale d'une telle théorie consiste à indiquer les conditions de vérité de cas non controversés d'énoncés causaux singuliers. [...] . (shrink)

Le problème de l’induction (humien) a récemment été abordé par Steel dans son article de 2010. Celui-ci soutient que les théories d’apprentissage formelles permettent de justifier logiquement le principe de l’induction, ce dernier assurant la fiabilité logique des méthodes. Cette proposition a été critiquée par Howson en 2011, ce dernier mettant en doute la possibilité même qu’une méthode puisse être logiquement fiable. Bien que Steel ait offert une réponse à cette critique, il n’y répond pas directement. Dans le présent article, (...) une réponse frontale à celle-ci est offerte en s’inspirant des pratiques de tests d’hypothèses en sciences biologiques. Pour ce faire, une règle de construction des ensembles d’hypothèses est proposée, règle offrant une justification logique au fait qu’une méthode convergera nécessairement vers la vérité. Cet amendement étant cohérent avec l’ensemble de la proposition de Steel, il est ainsi possible d’affirmer que sa thèse est renforcée par cette proposition. (shrink)

In this article, I provide an argument against the idea that public hate-speech events are harmful because they cause a discrete, traceable and harmful change in one’s propositional attitudes. To do so, I identify the essential conceptual architecture of public hate-speech situations, I assess existing arguments for the direct and indirect harm of public hate speech and I propose a novel way to approach public hate-speech situations: a maieutic approach. On this perspective, public hate-speech events do not cause changes in (...) propositional attitudes, but rather, if successful, either such events bring a person’s latent propositional attitudes into clear consciousness, or they play with propositional attitudes speakers and their audience had prior to the public hate-speech situation. (shrink)

Using William Shakespeare’s Hamlet and the play-within-the play, The Murder of Gonzago, as a case study, this essay argues that theatrical utterances constitute a special case of language usage not previously elucidated: the utterance of a statement with propositional content in theatre functions as an event. In short, the propositional content of a particular p (e.g. p1, p2, p3 …), whether or not it is true, is only understood—and understood to be true—if p1 is uttered in a particular time, place, (...) and situation (i.e. during a theatrical event); otherwise, the propositional content in those theatrical utterances can either be false or contingently true. (shrink)

Elgin offers an influential and far-reaching challenge to veritism. She takes scientific understanding to be non-factive and maintains that there are epistemically useful falsehoods that figure ineliminably in scientific understanding and whose falsehood is no epistemic defect. Veritism, she argues, cannot account for these facts. This paper argues that while Elgin rightly draws attention to several features of epistemic practices frequently neglected by veritists, veritists have numerous plausible ways of responding to her arguments. In particular, it is not clear that (...) false propositional commitments figure ineliminably in understanding in the manner supposed by Elgin. Moreover, even if scientific understanding were non-factive and false propositional commitments did figure ineliminably in understanding, the veritist can account for this in several ways without thereby abandoning veritism. (shrink)

The idea that logic is in some sense normative for thought and reasoning is a familiar one. Some of the most prominent figures in the history of philosophy including Kant and Frege have been among its defenders. The most natural way of spelling out this idea is to formulate wide-scope deductive requirements on belief which rule out certain states as irrational. But what can account for the truth of such deductive requirements of rationality? By far, the most prominent responses draw (...) in one way or another on the idea that belief aims at the truth. In this paper, I consider two ways of making this line of thought more precise and I argue that they both fail. In particular, I examine a recent attempt by Epistemic Utility Theory to give a veritist account of deductive coherence requirements. I argue that despite its proponents’ best efforts, Epistemic Utility Theory cannot vindicate such requirements. (shrink)

There is a well-known equivalence between avoiding accuracy dominance and having probabilistically coherent credences (see, e.g., de Finetti 1974, Joyce 2009, Predd et al. 2009, Pettigrew 2016). However, this equivalence has been established only when the set of propositions on which credence functions are defined is finite. In this paper, I establish connections between accuracy dominance and coherence when credence functions are defined on an infinite set of propositions. In particular, I establish the necessary results to extend the classic accuracy (...) argument for probabilism to certain classes of infinite sets of propositions including countably infinite partitions. (shrink)

Writers in the propositions literature consider the Benacerraf objection serious, often decisive. The objection figures heavily in dismissing standard theories of propositions of the past, notably set-theoretic theories. I argue that the situation is more complicated. After explicating the propositional Benacerraf problem, I focus on a classic set-theoretic theory of propositions, the possible worlds theory, and argue that methodological considerations influence the objection’s success.

Coherentism in epistemology has long suffered from lack of formal and quantitative explication of the notion of coherence. One might hope that probabilistic accounts of coherence such as those proposed by Lewis, Shogenji, Olsson, Fitelson, and Bovens and Hartmann will finally help solve this problem. This paper shows, however, that those accounts have a serious common problem: the problem of belief individuation. The coherence degree that each of the accounts assigns to an information set (or the verdict it gives as (...) to whether the set is coherent tout court) depends on how beliefs (or propositions) that represent the set are individuated. Indeed, logically equivalent belief sets that represent the same information set can be given drastically different degrees of coherence. This feature clashes with our natural and reasonable expectation that the coherence degree of a belief set does not change unless the believer adds essentially new information to the set or drops old information from it; or, to put it simply, that the believer cannot raise or lower the degree of coherence by purely logical reasoning. None of the accounts in question can adequately deal with coherence once logical inferences get into the picture. Toward the end of the paper, another notion of coherence that takes into account not only the contents but also the origins (or sources) of the relevant beliefs is considered. It is argued that this notion of coherence is of dubious significance, and that it does not help solve the problem of belief individuation. (shrink)

This paper presents a systematic semantic study of constructions with the noun 'case'. It argues that 'cases' are situations acting as truthmakers within a sentential or epistemic case space. It develops a truthmaker-based alternative semantics of 'case'-constructions, based on Fine's recent truthmaker semantics.

The coherence of independent reports provides a strong reason to believe that the reports are true. This plausible claim has come under attack from recent work in Bayesian epistemology. This work shows that, under certain probabilistic conditions, coherence cannot increase the probability of the target claim. These theorems are taken to demonstrate that epistemic coherentism is untenable. To date no one has investigated how these results bear on different conceptions of coherence. I investigate this situation using Thagard’s ECHO model of (...) explanatory coherence. Thagard’s ECHO model provides a natural representation of the evidential significance of multiple independent reports. (shrink)

The five English words—sentence, proposition, judgment, statement, and fact—are central to coherent discussion in logic. However, each is ambiguous in that logicians use each with multiple normal meanings. Several of their meanings are vague in the sense of admitting borderline cases. In the course of displaying and describing the phenomena discussed using these words, this paper juxtaposes, distinguishes, and analyzes several senses of these and related words, focusing on a constellation of recommended senses. One of the purposes of this paper (...) is to demonstrate that ordinary English properly used has the resources for intricate and philosophically sound investigation of rather deep issues in logic and philosophy of language. No mathematical, logical, or linguistic symbols are used. Meanings need to be identified and clarified before being expressed in symbols. We hope to establish that clarity is served by deferring the extensive use of formalized or logically perfect languages until a solid “informal” foundation has been established. Questions of “ontological status”—e.g., whether propositions or sentences, or for that matter characters, numbers, truth-values, or instants, are “real entities”, are “idealizations”, or are “theoretical constructs”—plays no role in this paper. As is suggested by the title, this paper is written to be read aloud. -/- I hope that reading this aloud in groups will unite people in the enjoyment of the humanistic spirit of analytic philosophy. (shrink)

Le réalisme scientifique occupe une place centrale dans le système philosophique de Mario Bunge. Au cœur de cette thèse, on trouve l’affirmation selon laquelle nous pouvons connaître le monde partiellement. Il s’ensuit que les théories scientifiques ne sont pas totalement vraies ou totalement fausses, mais plutôt partiellement vraies et partiellement fausses. Ces énoncés sur la connaissance scientifique, à première vue plausible pour quiconque est familier avec la pratique scientifique, demandent néanmoins à être clarifiés, précisés et, ultimement, à être inclus dans (...) un cadre théorique plus large et rigoureux. Depuis ses toutes premières publications sur ces questions et jusqu’à récemment, Mario Bunge n’a cessé d’interpeller les philosophes afin qu’ils développent une théorie, au sens propre du terme, de la vérité partielle afin de clarifier les enjeux épistémologiques liés au réalisme scientifique. Bunge a lui-même proposé plusieurs parties de cette théorie au fil des années, mais aucune de ces propositions ne l’a satisfait pleinement et la construction de cette théorie demeure un problème entier. Dans ce texte, nous passerons rapidement en revue certaines des approches proposées par Bunge dans ses publications et nous esquisserons certaines pistes qui devraient servir à tout le moins de desiderata pour la construction d’une théorie de la vérité partielle. (shrink)

Putnam and Davidson both defended coherence theories of justification from the early 1980s onward. There are interesting similarities between these theories, and Putnam’s philosophical development lead to further convergence in the 1990s. The most conspicuous difference between Putnam’s and Davidson’s theories is that they appear to fundamentally disagree on the role and nature of conceptual schemes, but a closer look reveals that they are not as far apart on this issue as usually assumed. The veridicality of perceptual beliefs is (...) a cornerstone of both Davidson’s and Putnam’s later (but not earlier) coherentism. However, this thesis introduces a form of weak foundationalism into their theories, and consequently, those are strictly speaking not pure coherence theories, but hybrids between coherentism and foundationalism. (shrink)

Based on the presentation of a research framework (the shared work of teachers), this text uses an empirical approach to examine the hypothesis of a co-elaboration of the professional situation. To do so, the empirical investigation, based on the Goffman framework, analyzes the process of reconstructing a teaching session (reference situation) over the course of a pedagogical counselling session (support situation) characterized by interaction between a beginning teacher and a trainer. The invalidation of the hypothesis leads to a suggested conceptualization (...) of the professional situation combining definitional approaches (emphasizing the duality between its singularity and its genericity) and methodological approaches. -/- A partir de la présentation d’un cadre de recherche (le travail partagé des enseignants), ce texte soumet à l’empirie l’hypothèse de la co-élaboration de la situation professionnelle. Pour ce faire, en s’appuyant sur le cadre de Goffman, l’enquête empirique analyse le processus de reconstruction d’une séance d’enseignement (situation de référence) au cours d’une séance de conseil pédagogique (situation support) caractérisée par l’interaction entre une enseignante débutante et un formateur. L’invalidation de l’hypothèse débouche sur une proposition de conceptualisation de la situation professionnelle qui combine des approches définitoires (insistant sur la dualité entre sa singularité et sa généricité) et méthodologiques. (shrink)

Recently there have been several attempts in formal epistemology to develop an adequate probabilistic measure of coherence. There is much to recommend probabilistic measures of coherence. They are quantitative and render formally precise a notion—coherence—notorious for its elusiveness. Further, some of them do very well, intuitively, on a variety of test cases. Siebel, however, argues that there can be no adequate probabilistic measure of coherence. Take some set of propositions A, some probabilistic measure of coherence, and a probability distribution such (...) that all the probabilities on which A’s degree of coherence depends (according to the measure in question) are defined. Then, the argument goes, the degree to which A is coherent depends solely on the details of the distribution in question and not at all on the explanatory relations, if any, standing between the propositions in A. This is problematic, the argument continues, because, first, explanation matters for coherence, and, second, explanation cannot be adequately captured solely in terms of probability. We argue that Siebel’s argument falls short. (shrink)

Study represents an application of the neutrosophic method, for solving the contradiction between communication and information. In addition, it recourse to an appropriate method of approaching the contradictions: Extensics, as the method and the science of solving the contradictions. The research core is the reality that the scientific research of communication-information relationship has reached a dead end. The bivalent relationship communicationinformation, information-communication has come to be contradictory, and the two concepts to block each other. After the critical examination of conflicting (...) positions expressed by many experts in the field, the extensic and inclusive hypothesis is issued that information is a form of communication. The object of communication is the sending of a message. The message may consist of thoughts, ideas, opinions, feelings, beliefs, facts, information, intelligence or other significational elements. When the message content is primarily informational, communication will become information or intelligence. The arguments of supporting the hypothesis are: a) linguistic (the most important being that there is "communication of information" but not "information of communication"; also, it is clarified and reinforced the over situated referent, that of the communication as a process), b) systemic-procedural (in the communication system is developing an information system; the informing actant is a type of communicator, the information process is a communication process), c) practical (the delimitation eliminates the efforts of disparate and inconsistent understanding of the two concepts), d) epistemological arguments (the possibility of intersubjective thinking of reality is created), linguistic arguments, e) logical and realistic arguments (it is noted the situation that allows to think coherently in a system of concepts - derivative series or integrative groups) f) and arguments from historical experience (the concept of communication has temporal priority, it appears 13 times in Julius Caesar’s writings ). In an axiomatic conclusion, the main arguments are summarized in four axioms: three are based on the pertinent observations of specialists, and the fourth is a relevant application of Florentin Smarandache’s neutrosophic theory. (shrink)

In this paper, we propose an account of metaphor identification on the basis of contextual coherence. In doing so, we build on previous work by Nicholas Asher and Alex Lascarides that appeals to rhetorical relations in order to explain discourse structure and the constraints on the interpretation of metaphor that follow from it. Applying this general idea to our problem, we will show that rhetorical relations are sometimes insufficient and sometimes inadequate for deciding whether a given utterance is a case (...) of metaphor. They are insufficient, since rhetorical relations fall short at times of providing a basis for disambiguating between literal and metaphorical interpretations. In such cases, contextual information other than previous discourse needs to enter the picture. To this effect, we bring the idea of external consistency into play. Beyond that, though, we will argue that rhetorical relations are sometimes inadequate to account for coherence, if conceived as relations among sentences only. The reason is that extra-linguistic elements of the situation in which the sentence is uttered may be crucial for getting at the preferred interpretation. To account for these cases, we allow rhetorical relations to connect both with previous discourse and with extra-linguistic situations. In our final refinement of the notion of contextual coherence, we forfeit any appeal to rhetorical relations in favour of Questions Under Discussion (QUD). We defend the view that this account does not only explain the same sort of cases. What is more, it solves the issue of metaphor identification in impoverished contexts. (shrink)

This paper develops the situational model of primate beliefs from the Prior-Lurz line of thought. There is a strong skepticism concerning primate beliefs in the analytic tradition which holds that beliefs have to be propositional and non-human animals do not have them. The response offered in this paper is twofold. First, two arguments against the propositional model as applied to other animals are put forward: an a priori argument from referential opacity and an empirical argument from varieties of working memory. (...) Second, the Prior-Lurz situational model based on state of affairs as opposed to propositions is introduced and defended with two significant modifications. With this model of primate beliefs we can make progress in understanding how other primates can have certain mindreading capacity. (shrink)

Inspired by the text entitled The Collapse of the Fact/Value Dichotomy and Other Essays (2004) of Hilary Putnam, the volume focuses on the theory and practice of knowledge, but one can legitimately extend it to other fields, most especially in aesthetics. Certain observable features in the fields of aesthetics, practice and artistic creation show that old evaluation criteria may now be obsolete. This is because upon further consideration, the definition of value remains opaque : should the artwork be judged according (...) to its moral value, its market value, or its formal value ? To side with or against the concept of value in art and aesthetics does not preclude a certain number of differences concerning the very nature of what is meant by value. If traditionally the ‘fact’ was the work, taken in all its tangibility, currently the materiality of the object no longer seems to play such a major role. Art is increasingly populated by so-called ‘immaterial’ or ‘ephemeral’ works and is therefore rarely, or badly, quantifiable according to old aesthetic and economic evaluation criteria. The progressively pragmatic contextualization of works within the social space puts forward a new definition of aesthetic value, no longer eternal and ideal, but rather anchored in the sensible and the politico-economic issues of a culturally specific situation. The current changes too support the idea that the question of ‘value’ and its confrontation with the concept of ‘fact’ is urgent. What role do artistic practices and aesthetic theories play ? A role of emancipation, of liberation, escape, or transformation ? Or on the contrary, could art become another means to subject individuals to the status quo ? As can easily be noticed, the question of maintaining or rejecting the dichotomy of facts and values is at the heart of the most pressing issues. (shrink)

Arguments pro and contra convergent realism – underdetermination of theory by observational evidence and pessimistic meta-induction from past falsity – are considered. It is argued that, to meet the counter-arguments challenge, convergent realism should be considerably changed with a help of modification of the propositions from this meta-programme “hard core” or “protecting belt”. Two well-known convergent realism rivals – “entity realism” of Nancy Cartwright and Ian Hacking and John Worrall’s “structural realism” – are considered. Entity realism’s main drawback is fundamental (...) laws underestimation. As for structural realism, its limitation of theoretical propositions by pure structural ones is ineffective. One always can transform propositions about objects into propositions about structures and vice versa. Both conceptions are kinds of “metaphysical revisionism” that tries to reformulate the good old convergent realism propositions using more decent language and applying ad hoc modifications of the solutions first obtained within the anti-realist epistemological meta-programmes. It is stated that to overcome the troubles of convergent realism one has to turn from classical or “metaphysical” realism to nonclassical or “internal” one and to coherent theory of truth. Internal realism has no troubles in solving the problem of empirically-equivalent theoretical descriptions and historical meta-induction problem, but gets the problem of scientific knowledge objectivity instead. Where does this objectivity come from? One of the answers is proposed by the scientific knowledge growth model elaborated by Rinat Nugayev and by Peter Galison. Each paradigm is a local viewpoint determined by the peculiarities of a culture into which its creator . was submerged. However, the meeting of the different paradigms leads to their interaction; as a result, the crossbred theoretical objects are constructed. Through these systems the infiltration of one paradigm on the other’s domain takes place. After the old paradigms’ grinding the new ones emerge that reconcile to each other much better than the old ones. Scientific theories reconcile results in elimination of many contingent details. In the process of competition more universal components survive. It is demonstrated that the process of objective knowledge genesis takes place in modern superstring theory too. The list of its drawbacks is rather long; it is clear that the theory cannot pretend on the role of the Theory of Everything. Nevertheless the process of argumentation pro and contra convergent realism – underdetermination of theory by observational evidence and pessimistic meta-induction from past falsity – are considered. It is argued that, to meet the counter-arguments challenge, convergent realism should be considerably changed with a help of modification of the propositions from this meta-programme “hard core” or “protecting belt”. It is stated that to overcome the troubles of convergent realism one has to turn from classical or “metaphysic” of quantum field theory and general relativity interpenetration have already begun. (shrink)

We outline a novel theory of natural language meaning, Rich Situated Semantics [RSS], on which the content of sentential utterances is semantically rich and informationally situated. In virtue of its situatedness, an utterance’s rich situated content varies with the informational situation of the cognitive agent interpreting the utterance. In virtue of its richness, this content contains information beyond the utterance’s lexically encoded information. The agent-dependence of rich situated content solves a number of problems in semantics and the philosophy of language (...) (cf. [14, 20, 25]). In particular, since RSS varies the granularity of utterance contents with the interpreting agent’s informational situation, it solves the problem of finding suitably fine- or coarse-grained objects for the content of propositional attitudes. In virtue of this variation, a layman will reason with more propositions than an expert. (shrink)

The folk Psychology frames propositional attitudes as fundamental theoretical entities for the construction of a model designed to predict the behavior of a subject. A trivial, such as grasping a pen and writing reveals - something complex - about the behavior. When I take a pen and start writing I do, trivially, because I believe that a certain object in front of me is a pen and who performs a specific function that is, in fact, that of writing. When I (...) believe that the object that stands before me is a pen, I am in relation to "believe" with the propositional content: that in front of me is a pen. Philosophers of the proposition, from Frege onwards, have dedicated their studies to the analysis of what kinds of entities are the propositional attitudes. Jerry Fodor says that now, the proper prediction of the psychology of common sense, can not be questioned and that the propositional attitudes represent the most effective way to describe our behavior. What Fodor says, however, is that propositional attitudes function, but not how they work. Most philosophers interested in the issue, we are dedicated to the search for a theory that can account consistently both a semantics for propositional attitudes, both of these entities that seem to cause the behavior of a rational subject. There are two main paradigms in the theory of the proposition that contributed to the discussion of the propositional attitudes. One is the one that begins with Gottlob Frege, the other with Bertrand Russell. Defenders of Frege argue that the paradigm scrub objects and properties can not be constituents of the propositional content which have a purely conceptual. In other words, the philosophers belonging to the paradigm of Frege, but not all, mean that you can test in a rigorous way the truth conditions of propositional attitudes. Who defends the russellian’s paradigm argues that the propositional content are made by the objects and properties on which propositional attitudes relate. The purpose of this article is not to rebuild - in detail - both paradigms, nor to reconstruct one but, in a sense, my work will be a completely partial objective is to demonstrate how the paradigm is more profitable russell not only to make a coherent semantic theory for propositional attitudes2 but also to predict the behavior of a rational subject thing, completely innovative, given the repeated objections in contemporary literature3. At the end of this paper will be drafted a proposal to build a consistent model to predict the behavior,of a rational agent, based on a referential theory of propositional attitudes. (shrink)

La position résolument extensionaliste de Quine a été appuyée par des arguments de nature différente, dans ses multiples articles destinés à rejeter le projet de logique modale. On peut classer ces arguments en trois catégories : un argument naturaliste, où l’auteur tente de baser le langage scientifique sur une notation tâchée de décrire la “structure ultime de la réalité” ; un argument esthétique, où Quine fait allusion à des raisons de clarté et d’efficacité démonstrative pour privilégier la théorie des fonctions (...) de vérité ; un argument pratique, dans la mesure où Quine défend la logique classique sur la base du “principe de mutilation minimum”. A travers une étude de ses écrits relatifs aux attitudes propositionnelles, nous montrerons que la philosophie de la logique de Quine a prolongé la partie épistémologique de son oeuvre, optant finalement pour une stratégie de réduction naturaliste des intensions, à l’image du mouvement engagé par Word and Object et prolongé par From Stimulus to Science. Ce projet se soldera par un échec relatif, et Quine résumera cette désillusion par un fossé entre les structures du langage et du monde : la thèse du “monisme anomal” de Davidson sera le dernier mot, amer, du défenseur acharné de la logique classique. (shrink)

Le mémoire de Master 2. Soutenu en 2012 à Paris VIII sous la direction de Ch. Ramond. A study of Spinoza's account of "singular things" in the Ethics along with the classic French literature on the subject. -/- TABLE DES MATIÈRES: INTRODUCTION GENERALE (p. 3 – 4) PREMIERE PARTIE : DE LA NATURE DE DIEU AUX CHOSES SINGULIERES (p. 5 – 97) INTRODUCTION (p. 5 – 16) : DU RAPPORT DE L’INFINIMENT INFINI ET DU FINI. Pourquoi l’Éthique commence par l’infiniment (...) infini (Dieu). De l’immanentisme spinoziste. Abrégé de la réalité des choses singulières. Que celles-ci sont « en autre chose » et que cet autre est Dieu. Rôle important de la « cause de soi » dans l’ontologie spinoziste. Description de la démarche à suivre. PREMIER PAS (p. 17 – 39) : DE LA « CAUSE DE SOI ». Sur la définition de la « cause de soi ». De la méthode géométrique, et de la raison pour laquelle l’Éthique commence avec cette définition d’un Ens causa sui. Comment la notion de la « cause de soi » fonde l’idée de Dieu. Du monisme intégral chez Spinoza. De « l’esprit » du spinozisme et du déterminisme absolu. Du dédoublement de Dieu. INTERMEDE (p. 40– 60) : DE LA PROPOSITION 16 ET DES MODES INFINIS. Derechef, du dédoublement de Dieu, et en particulier, du renversement de la situation théorique du qualitatif et du quantitatif dans le système. Rôle de la Proposition 16 dans le système. Comment celle-ci scelle le passage de l’Ens causa sui à l’Ens effectus sui. Pourquoi I 16 est controversé. Comment I 16 nous apprend que Dieu ne produit nécessairement tout qu’à condition de produire de l’intelligible. De l’intellect de Dieu. Des modes, et des modes infinis en particulier. À propos du souci néoplatonicien. SECOND PAS (p. 61 – 91) : DE L’ESSENCE ET L’EXISTENCE DES CHOSES EN ÉI. Les Propositions 24 et 25. Comment Dieu scinde les essences des existences. Que toute chose finie est par essence dans un rapport intime avec sa cause infinie et verticale. Le Scolie de la Proposition 25. Sur la démonstration de la définition des « choses particulières ». Sur la controverse de l’attribut. Les Proposition 26 et 28. Comment les choses existent. De la causalité horizontale et de l’indéfini. Analyse de la notion de l’infini. De l’impossibilité de comprendre totalement l’existence d’une chose. Ce qui veut dire « Deus quatenus ». FIN DE LA PREMIERE PARTIE (p. 92 – 97) : DE LA NATURE NATURANTE ET LA NATURE NATUREE. Analyse du Scolie de la Proposition 29. De l’asymétrie du dédoublement de la Nature. Du salut spinoziste. DEUXIEME PARTIE : DE L’UNITE DES CHOSES SINGULIERES (p. 98 – 153) INTRODUCTION (p. 98 – 102) : DU RAPPORT DE L’ESSENCE A L’EXISTENCE. Ce qui se passe lorsqu’on quitte une Partie de l’Éthique. De ce qu’on a vu dans notre Première Partie. De la causalité verticale et de la causalité horizontale. Comment les essences peuvent-elles retrouver les existences, et vice versa. Description de la démarche à suivre. PREMIER PAS (p. 103 – 127) : DE L’ESSENCE Sur la définition d’une « essence ». De sa positivité. Que ce qu’un individu est par essence n’est que ce qu’il peut comprendre. De la Proposition 8, de son Corollaire et de son Scolie. Que l’existence de l’essence d’une chose ne se confond pas avec l’existence de la chose elle-même. Contre l’idée que les essences sont des choses « possibles ». Sur la notion des « grandeurs intensives » et sur la notion du « profondeur » chez Spinoza. SECOND PAS (p. 128 – 149) : DU CONATUS A LA PHYSIQUE Sur le concept du conatus. Du fait qu’il est l’essence actuelle d’une chose. Qu’on ne peut pas distinguer entre notre puissance ou effort pour persévérer dans l’être et l’être dans lequel nous nous persévérons. Du dynamisme introduit par le biais du conatus. Du rapport du quantitatif et du qualitatif, de l’idée des instants d’éternité, et du problème des essences qui sont instantanées. De la « petite physique » dans la Deuxième Partie de l’Éthique. Sur ses enjeux théoriques. Sur le matérialisme de Spinoza. De la définition de l’Individu comme rapport fixe de mouvement et de repos. Des corps simples, et que pour toute chose existante il n’est pas donné une essence. De la définition des choses singulières, et encore de la mutabilité ontologique de celles-ci. FIN DE LA DEUXIEME PARTIE (p. 150 – 153) : DE LA FINITUDE Sur l’Axiome de la Quatrième Partie de l’Éthique. Que certains rapports de mouvement et de repos en remplacent d’autres. Sur la raison pour laquelle tout rapport ne peut pas coexister. Que la destructibilité vient du biais de l’Étendue, et en particulier, du problème de l’espace. Que la chose singulière véhicule une tension entre la partie et le tout, et encore, du salut spinoziste. CONCLUSION GENERALE (p. 154 – 157) ENGLISH SUMMARY (p. 158 – 159) BIBLIOGRAPHIE (p. 160 – 165) TABLE DES MATIERES (p. 166 – 169). (shrink)

How do agents with limited cognitive capacities flourish in informationally impoverished or unexpected circumstances? Aristotle argued that human flourishing emerged from knowing about the world and our place within it. If he is right, then the virtuous processes that produce knowledge, best explain flourishing. Influenced by Aristotle, virtue epistemology defends an analysis of knowledge where beliefs are evaluated for their truth and the intellectual virtue or competences relied on in their creation. However, human flourishing may emerge from how degrees of (...) ignorance are managed in an uncertain world. Perhaps decision-making in the shadow of knowledge best explains human wellbeing—a Bayesian approach? In this dissertation I argue that a hybrid of virtue and Bayesian epistemologies explains human flourishing—what I term homeostatic epistemology. Homeostatic epistemology supposes that an agent has a rational credence p when p is the product of reliable processes aligned with the norms of probability theory; whereas an agent knows that p when a rational credence p is the product of reliable processes such that: 1) p meets some relevant threshold for belief, 2) p coheres with a satisficing set of relevant beliefs and, 3) the relevant set of beliefs is coordinated appropriately to meet the integrated aims of the agent. Homeostatic epistemology recognizes that justificatory relationships between beliefs are constantly changing to combat uncertainties and to take advantage of predictable circumstances. Contrary to holism, justification is built up and broken down across limited sets like the anabolic and catabolic processes that maintain homeostasis in the cells, organs and systems of the body. It is the coordination of choristic sets of reliably produced beliefs that create the greatest flourishing given the limitations inherent in the situated agent. (shrink)

Ce n’est pas un livre parfait, mais il est unique, et si vous écrémez les 400 premières pages ou plus, les 300 dernières (sur quelque 700) sont une assez bonne tentative d’appliquer ce qui est connu sur le comportement aux changements sociaux de la violence et des manières au fil du temps. Le sujet fondamental est le suivant : comment notre génétique contrôle-t-elle et limite-t-elle le changement social ? Étonnamment, il ne parvient pas à décrire la nature de la sélection (...) des parents (fitness inclusif) qui explique une grande partie de la vie sociale animale et humaine. Il n’a pas non plus (comme presque tout le monde) un cadre clair pour décrire la structure logique de la rationalité (LSR—terme préféré de John Searle) que je préfère appeler la psychologie descriptive de la pensée de haut ordre (DPHOT). Il aurait dû dire quelque chose sur les nombreuses autres façons d’abuser et d’exploiter les gens et la planète, car ceux-ci sont maintenant beaucoup plus graves que de rendre d’autres formes de violence presque hors de propos. Étendre le concept de violence pour inclure les-conséquences mondiales à long terme de la réplication des gènes de quelqu’un, et avoir une compréhension de la nature de la façon dont fonctionne l’évolution (c.-à-d., la sélection des parents) fournira une perspective très différente sur l’histoire, les événements actuels, et comment les choses sont susceptibles d’aller dans les quelques centaines d’années. On pourrait commencer par noter que la diminution de la violence physique au cours de l’histoire a été compensée (et rendue possible) par le viol sans pitié de la planète (c’est-à-dire par la destruction par les gens de l’avenir de leur propre descendant). Pinker (comme la plupart des gens la plupart du temps) est souvent distrait par les superficialités de la culture quand c’est la biologie qui compte. Voir mes critiques récentes de Wilson 'The Social Conquest of Earth' et Nowak and Highfield’s 'SuperCooperators' ici et sur le net pour un bref résumé de la vacuité de «véritable altruisme»(sélection de groupe), et le fonctionnement de la sélection des parents et l’inutilité et la superficialité de décrire le comportement en termes culturels. C’est la question classique de la nature/nourrir et la nature l’emporte nourrir - infiniment. Ce qui importe vraiment, c’est la violence faite à la terre par l’augmentation incessante de la population et de la destruction des ressources (en raison de la médecine et de la technologie et de la répression des conflits par la police et l’armée). Environ 200.000 personnes de plus par jour (un autre Las Vegas tous les 10 jours, un autre Los Angeles chaque mois), les 6 tonnes ou plus de la base va dans la mer / personne / année - environ 1% du total du monde disparaissant chaque année, etc. signifie que si un miracle se produit la biosphère et la civilisation va largement s’effondrer au cours des deux prochains siècles, et il y aura la famine, la misère et la violence de tous les types. Les manières, les opinions et les tendances des gens à commettre des actes de violence ne sont d’aucune pertinence à moins qu’ils ne puissent faire quelque chose pour éviter cette catastrophe, et je ne vois pas comment cela va se produire. Il n’y a pas de place pour les arguments, et aucun point non plus (oui je suis un fataliste), donc je vais juste faire quelques commentaires comme s’ils étaient des faits. N’imaginez pas que j’ai un intérêt personnel dans la promotion d’un groupe au détriment des autres. J’ai 78, n’ont pas de descendants et pas de proches parents et ne s’identifient à aucun groupe politique, national ou religieux et considèrent ceux que j’appartiens par défaut aussi répugnant que tout le reste. Les parents sont les pires ennemis de la vie sur Terre et, compte tenu de la vue générale des choses, les femmes sont aussi violentes que les hommes quand on considère le fait que la violence des femmes (comme la plupart de celle faite par les hommes) se fait en grande partie au ralenti, à une distance dans le temps et l’espace et la plupart du temps effectuée par procuration -par leurs descendants et par les hommes. De plus en plus, les femmes portent des enfants, qu’elles aient un compagnon ou non et que l’effet d’empêcher une femme de se reproduire est en moyenne beaucoup plus important que d’arrêter un homme, car ils constituent le goulot d’étranglement reproducteur. On peut considérer que les gens et leur progéniture méritent richement toute la misère vient leur chemin et (à de rares exceptions près) les riches et les célèbres sont les pires délinquants. Meryl Streep ou Bill Gates ou J.K Rowling et chacun de leurs enfants peuvent détruire 50 tonnes de terre d’o re plus chaque année pendant des générations dans l’avenir, tandis qu’un fermier indien et son peut détruire 1 tonne. Si quelqu’un nie que c’est très bien, et à leurs descendants, je dis "Bienvenue à l’enfer sur Terre"(WTHOE). Aujourd’hui, l’accent est toujours mis sur les droits de l’homme, mais il est clair que si la civilisation doit avoir une chance, les responsabilités humaines doivent remplacer les droits de l’homme. Personne n’obtient des droits sans être un citoyen responsable et la première chose que cela signifie est la destruction de l’environnement minimal. La responsabilité la plus fondamentale n’est pas les enfants à moins que votre société vous demande de les produire. Une société ou un monde qui permet aux gens de se reproduire au hasard sera toujours exploité par des gènes égoïstes jusqu’à ce qu’il s’effondre (ou atteint un point où la vie est si horrible qu’il ne vaut pas la peine de vivre). Si la société continue à maintenir les droits de l’homme comme primaires, à leurs descendants, on peut dire avec confiance "WTHOE". Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Avant de commenter le livre, je vous propose des commentaires sur Wittgenstein et Searle et la structure logique de la rationalité. Les essais ici sont pour la plupart déjà publiés au cours de la dernière décennie (bien que certains ont été mis à jour), avec un élément non publié, et rien ici ne viendra comme une surprise pour ceux qui ont suivi son travail. Comme W, il est considéré comme le meilleur philosophe standup de son temps et son travail écrit (...) est solide comme un rocher et révolutionnaire tout au long. Cependant, son incapacité à prendre le W plus tard assez au sérieux conduit à quelques erreurs et confusions. Juste quelques exemples: sur p7, il note deux fois que notre certitude sur les faits de base est due à l’importance écrasante de la raison à l’appui de nos revendications, mais W a montré définitivement dans «Sur la certitude» qu’il n’y a aucune possibilité de douter de la véritable seule structure axiomatique de notre système 1 perceptions, souvenirs et pensées, car il est lui-même la base du jugement et ne peut pas lui-même être jugé. Dans la première phrase sur p8, il nous dit que la certitude est révisable, mais ce genre de «certitude», que nous pourrions appeler Certainty2, est le résultat de l’extension de notre certitude axiomatique et non révisible (Certitude1) par l’expérience et est tout à fait différent car il est proposé (vrai ou faux). C’est bien sûr un exemple classique de la « bataille contre l’envoûtement de notre intelligence par la langue » dont W a démontré maintes et maintes fois. Un mot- deux (ou plusieurs) utilisations distinctes. Son dernier chapitre "L’unité de la proposition" (précédemment inédit) bénéficierait également grandement de la lecture de W "On Certainty" ou les deux livres de DMS sur OC (voir mes commentaires) car ils font clairement la différence entre les phrases vraies seulement décrivant S1 et les propositions vraies ou fausses décrivant S2. Cela me semble comme une approche bien supérieure à S de prendre S1 perceptions comme propositionnelle car ils ne deviennent T ou F après que l’on commence à penser à eux dans S2. Cependant, son point que les propositions permettent des déclarations de vérité réelle ou potentielle et de fausseté, du passé et du futur et de la fantaisie, et donc fournir une énorme avancée sur la société pré ou protolinguistique, est convaincante. Comme il l’affirme : « Une proposition est tout ce qui peut déterminer une condition de satisfaction... et une condition de satisfaction... est que tel ou tel est le cas. Ou, il faut ajouter, qui pourrait être ou aurait pu être ou pourrait être imaginé pour être le cas. Dans l’ensemble, PNC est un bon résumé des nombreuses avancées substantielles sur Wittgenstein résultant du demi-siècle de travail de S, mais à mon avis, W est toujours inégalé une fois que vous saisissez ce qu’il dit. Idéalement, ils devraient être lus ensemble: Searle pour la prose et les généralisations clairement cohérentes, illustrés par les exemples perspicaces de W et les aphorismes brillants. Si j’étais beaucoup plus jeune, j’écrirais un livre faisant exactement cela. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deuxemssyst peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2019) et autres. (shrink)

Depuis Gintis est un économiste senior et j’ai lu certains de ses livres précédents avec intérêt, je m’attendais à un peu plus de perspicacité dans le comportement. Malheureusement, il fait les mains mortes de la sélection de groupe et la phénoménologie dans les pièces maîtresses de ses théories du comportement, et cela invalide en grande partie le travail. Pire encore, puisqu’il montre un si mauvais jugement ici, il remet en question tout son travail précédent. La tentative de ressusciter la sélection (...) de groupe par ses amis à Harvard, Nowak et Wilson, il y a quelques années, c’était l’un des principaux scandales en biologie au cours de la dernière décennie, et j’ai raconté la triste histoire dans mon article 'Altruism, Jesus and the End of the World-how the Templeton Foundation bought a Harvard Professorship and attacked Evolution, Rationality and Civilization -- A review of E.O. Wilson 'The Social Conquest of Earth' (2012) et Nowak and Highfield 'SuperCooperators' (2012).' Contrairement à Nowak, Gintis ne semble pas être motivé par le fanatisme religieux, mais par le fort désir de générer une alternative aux sombres réalités de la nature humaine, facilitée par le manque (quasi universel) de compréhension de la biologie humaine fondamentale et le slateisme vierge des scientifiques comportementaux, d’autres universitaires et du grand public. Gintis attaque à juste titre (comme il l’a fait à maintes reprises) les économistes, les sociologues et d’autres scientifiques du comportement pour ne pas avoir un cadre cohérent pour décrire le comportement. Bien sûr, le cadre nécessaire pour comprendre le comportement est évolutif. Malheureusement, il ne parvient pas à en fournir un lui-même (selon ses nombreux critiques et je suis d’accord), et la tentative de greffer le cadavre pourri de la sélection de groupe sur toutes les théories économiques et psychologiques qu’il a généré dans ses décennies de travail, n’a fait qu’invalider tout son projet. Bien que Gintis fasse un vaillant effort pour comprendre et expliquer la génétique, comme Wilson et Nowak, il est loin d’être un expert, et comme eux, le calcul l’aveugle juste aux impossibilités biologiques et bien sûr c’est la norme en science. Comme Wittgenstein l’a noté sur la première page de la culture et de la valeur « Il n’y a pas de dénomination religieuse dans laquelle l’utilisation abusive des expressions métaphysiques a été responsable de tant de péchés qu’il l’a en mathématiques. » Il a toujours été clair que un gène qui provoque un comportement qui diminue sa propre fréquence ne peut pas persister, mais c’est le cœur de la notion de sélection de groupe. En outre, il a été bien connu et souvent démontré que la sélection de groupe réduit juste à la condition physique inclusive (sélection de parents), qui, comme Dawkins l’a noté, est juste un autre nom pour l’évolution par sélection naturelle. Comme Wilson, Gintis a travaillé dans cette arène pendant environ 50 ans et n’a toujours pas compris, mais après le scandale a éclaté, il ne m’a fallu que 3 jours pour trouver, lire et comprendre le travail professionnel le plus pertinent, comme détaillé dans mon article. Il est ahurissant de se rendre compte que Gintis et Wilson n’ont pas été en mesure d’y parvenir en près d’un demi-siècle. Je discute des erreurs de sélection de groupe et de phénoménologie qui sont la norme dans le milieu universitaire comme des cas spéciaux de l’échec quasi universel de comprendre la nature humaine qui détruisent l’Amérique et le monde. Ceux qui souhaitent un cadre complet à jour pour le comportement humain de la vue moderne de deux systemes peuvent consulter mon livre 'The Logical Structure of Philosophy, Psychology, Mind and Language in Ludwig Wittgenstein and John Searle' 2nd ed (2019). Ceux qui s’intéressent à plus de mes écrits peuvent voir «Talking Monkeys --Philosophie, Psychologie, Science, Religion et Politique sur une planète condamnée --Articles et revues 2006-2019 3e ed (2019) et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century 4th ed (2020) et autres. (shrink)

In this paper, I trace the three-fold essence of “return”—a generating trope of identity and difference, through which formal aspects of the theory of relativity, the movement of language and emergence in evolution might converge. The trope of return is contrasted with the more common two-fold structure of relatedness underwriting differential calculus, propositional semantics and reductionism, which privileges space over time, identity over difference, self over creation.

My goal in this paper is to show that Kant’s prohibition on certain kinds of knowledge of things-in-themselves is motivated less by his anti-soporific encounter with Hume than by his new view of the distinction between “real” and “logical” modality, a view that developed out of his reflection on the rationalist tradition in which he was trained. In brief: at some point in the 1770’s, Kant came to hold that a necessary condition on knowing a proposition is that one be (...) able to prove that all the items it refers to are either really possible or really impossible. Most propositions about things-in-themselves, in turns out, cannot meet this condition. I conclude by suggesting that the best interpretation of this modal condition is as a kind of coherentist constraint. (shrink)

There are many reasons we might want to take the opinions of various individuals and pool them to give the opinions of the group they constitute. If all the individuals in the group have probabilistic opinions about the same propositions, there is a host of pooling functions we might deploy, such as linear or geometric pooling. However, there are also cases where different members of the group assign probabilities to different sets of propositions, which might overlap a lot, a little, (...) or not at all. There are far fewer proposals for how to proceed in these cases, and those there are have undesirable features. I begin by considering four proposals and arguing that they don't work. Then I'll describe my own proposal, which is intended to cover the situation in which we want to pool the individual opinions in order to ascribe an opinion to the group considered as an agent in its own right. (shrink)

Deductive inference is usually regarded as being “tautological” or “analytical”: the information conveyed by the conclusion is contained in the information conveyed by the premises. This idea, however, clashes with the undecidability of first-order logic and with the (likely) intractability of Boolean logic. In this article, we address the problem both from the semantic and the proof-theoretical point of view. We propose a hierarchy of propositional logics that are all tractable (i.e. decidable in polynomial time), although by means of growing (...) computational resources, and converge towards classical propositional logic. The underlying claim is that this hierarchy can be used to represent increasing levels of “depth” or “informativeness” of Boolean reasoning. Special attention is paid to the most basic logic in this hierarchy, the pure “intelim logic”, which satisfies all the requirements of a natural deduction system (allowing both introduction and elimination rules for each logical operator) while admitting of a feasible (quadratic) decision procedure. We argue that this logic is “analytic” in a particularly strict sense, in that it rules out any use of “virtual information”, which is chiefly responsible for the combinatorial explosion of standard classical systems. As a result, analyticity and tractability are reconciled and growing degrees of computational complexity are associated with the depth at which the use of virtual information is allowed. (shrink)

This paper assesses J. L. Schellenberg’s account of propositional faith and, in light of that assessment, sketches an alternative that avoids certain objections and coheres better with Schellenberg’s aims.

A standard way to challenge convergence-based accounts of inductive success is to claim that they are too weak to constrain inductive inferences in the short run. We respond to such a challenge by answering some questions raised by Juhl (1994). When it comes to predicting limiting relative frequencies in the framework of Reichenbach, we show that speed-optimal convergence—a long-run success condition—induces dynamic coherence in the short run.

Metaphysically possible worlds have many uses. Epistemically possible worlds promise to be similarly useful, especially in connection with propositions and propositional attitudes. However, I argue that there is a serious threat to the natural accounts of epistemically possible worlds, from a version of Russell’s paradox. I contrast this threat with David Kaplan’s problem for metaphysical possible world semantics: Kaplan’s problem can be straightforwardly rebutted, the problems I raise cannot. I argue that although there may be coherent accounts of epistemically possible (...) worlds with fruitful applications, any such an account must fundamentally compromise the basic idea behind epistemic possibility. (shrink)

In Natural propositions (2014), Stjernfelt contends that the interpretation of a proposition or dicisign requires the joint action of two kinds of signs. A proposition must contain a sign that conveys a general quality. This function can be served by a similarity-based icon or code-based symbol. In addition, a proposition must situate or apply this general quality, so that the predication can become liable of being true or false. This function is served by an index. Stjernfelt rightly considers the co-localization (...) of these two parts to be a primitive phenomenon. Although this primitive character would seem to bar any further analysis, I endeavor to clarify the degree of proximity sufficient to enable co-localization. Siding with Pietarinen (2014), who argues that the whole issue should not be construed in metric terms, I conclude that one cannot make sense of propositional co-localization without appealing to some form of first-person perspective. (shrink)

Developing a suggestion of Wittgenstein, I provide an account of truth tables as formulas of a formal language. I define the syntax and semantics of TPL (the language of Tabular Propositional Logic), and develop its proof theory. Single formulas of TPL, and finite groups of formulas with the same top row and TF matrix (depiction of possible valuations), are able to serve as their own proofs with respect to metalogical properties of interest. The situation is different, however, for groups of (...) formulas whose top rows differ. For them I provide (i) a tree-style system of ‘row tree proofs’, which is shown to be sound and complete, and (ii) an alternative, re-writing strategy. (shrink)

This is a conjecture about the conditions and operating structures that are required for the phenomenality of certain mental states. Specifically, full-blown phenomenality is assumed, as contrasted with constrained examples of phenomenal experience such as sensations of color and pain. Propositional attitudes and content, while not phenomenal per se, are standardly concurrent and may condition phenomenal states (e.g., when tied to false beliefs). It is conjectured that full phenomenality natively arises in coherent processes of situated sensory synthesis and representation (with (...) conceptual content) that are looped, mereologically whole and multi-dimensional. And that phenomenal states are typically phase-states within a parameterized conjoint structure of world and experiencer processes that are causally modulated across Markov blankets (which are conditionally independent and may be nested: cf. M. Kirchoff, et. al., 2017, 2018; and T. Burge, 2010, re: anti-individualism). Though they may, it is not accepted that phenomenally conscious states must be targets of higher-order representations (cf. A. Byrne, 2004). (shrink)

The Problem of Nearly Convergent Knowledge is an updated and stronger version of the Problem of Convergent Knowledge, which presents a problem for the traditional, binary view of knowledge in which knowledge is a two-place relation between a subject and the known proposition. The problem supports Knowledge Contrastivism, the view that knowledge is a three-place relation between a subject, the known proposition, and a proposition that disjoins the alternatives relevant to what the subject knows. For example, if knowledge is contrastive, (...) I do not simply know that the bird in front of me is a goldfinch; instead, I know that the bird in front of me is a goldfinch rather than a raven or eagle or falcon. There is, however, a binary view of knowledge that overcomes even the Problem of Nearly Convergent Knowledge. I will give this binary view, show that it is motivated by the same considerations that motivate Knowledge Contrastivism, and argue that it avoids problematic consequences for our epistemic lives that Knowledge Contrastivism cannot. (shrink)

Models of discourse and narration elaborated within the classical compositional framework have been characterized as bottom-up models, according to which discourse analysis proceeds incrementally, from phrase and sentence local meaning to discourse global meaning. In this paper we will argue against these models. Assuming as a case study the issue of discourse coherence, we suggest that the assessment of coherence is a top-down process, in which the construction of a situational interpretation at the global meaning level guides local meaning analysis. (...) In support of our hypothesis, we explore the role of executive functions (brain functions involved in planning and organization of goal-oriented behaviors) in coherence’s establishment, discussing the results of several studies on narrative abilities of patients with brain injuries. We suggest that, compared to other models of discourse processing focused on comprehension, our model is a viable candidate for an integrated account of discourse comprehension and production. (shrink)

Moss (2018) argues that rational agents are best thought of not as having degrees of belief in various propositions but as having beliefs in probabilistic contents, or probabilistic beliefs. Probabilistic contents are sets of probability functions. Probabilistic belief states, in turn, are modeled by sets of probabilistic contents, or sets of sets of probability functions. We argue that this Mossean framework is of considerable interest quite independently of its role in Moss’ account of probabilistic knowledge or her semantics for epistemic (...) modals and probability operators. It is an extremely general model of uncertainty. Indeed, it is at least as general and expressively powerful as every other current imprecise probability framework, including lower probabilities, lower previsions, sets of probabilities, sets of desirable gambles, and choice functions. In addition, we partially answer an important question that Moss leaves open, viz., why should rational agents have consistent probabilistic beliefs? We show that an important subclass of Mossean believers avoid Dutch bookability iff they have consistent probabilistic beliefs. (shrink)

This text presents a few preliminary results of research currently being conducted at the Université de Sherbrooke’s Research Institute on Educational Practices. The study seeks to understand how situations presented in teacher education can support the functioning and success of trainee teachers’ professional learning. The article’s aim is to identify the points of convergence between situations of professional activity, situations of professional learning, and training situations. The text will attempt to analyze the role that can be played by certain (...) training structures that seek to support a professionalization process that we define in terms of a general aim: the construction of professional knowledge. The originality of this research lies in that it draws on the work of Gaston Bachelard to develop a theoretical frame enabling a reading and interpretation of the results. Ce texte présente quelques résultats préliminaires d’une recherche menée présentement à l’Institut de recherche sur les pratiques éducatives de l’Université de Sherbrooke. Cette recherche vise à comprendre comment les situations présentes dans la formation à l’enseignement peuvent soutenir le fonctionnement et la réussite de l’apprentissage professionnel des enseignants en formation. Nous cherchons à identifier les points de rencontre entre les situations d’activité professionnelle, les situations d’apprentissage professionnel et les situations de formation. Nous tenterons d’analyser le rôle que peuvent jouer certains dispositifs visant à soutenir un processus de professionnalisation que nous définissons au regard d’une finalité : la construction de savoirs professionnels. L’originalité de cette recherche est la convocation des travaux de Gaston Bachelard pour élaborer le cadre théorique permettant la lecture et l’interprétation des résultats. (shrink)

This text presents a few preliminary results of research currently being conducted at the Université de Sherbrooke’s Research Institute on Educational Practices. The study seeks to understand how situations presented in teacher education can support the functioning and success of trainee teachers’ professional learning. The article’s aim is to identify the points of convergence between situations of professional activity, situations of professional learning, and training situations. The text will attempt to analyze the role that can be played by certain (...) training structures that seek to support a professionalization process that we define in terms of a general aim: the construction of professional knowledge. The originality of this research lies in that it draws on the work of Gaston Bachelard to develop a theoretical frame enabling a reading and interpretation of the results. Ce texte présente quelques résultats préliminaires d’une recherche menée présentement à l’Institut de recherche sur les pratiques éducatives de l’Université de Sherbrooke. Cette recherche vise à comprendre comment les situations présentes dans la formation à l’enseignement peuvent soutenir le fonctionnement et la réussite de l’apprentissage professionnel des enseignants en formation. Nous cherchons à identifier les points de rencontre entre les situations d’activité professionnelle, les situations d’apprentissage professionnel et les situations de formation. Nous tenterons d’analyser le rôle que peuvent jouer certains dispositifs visant à soutenir un processus de professionnalisation que nous définissons au regard d’une finalité : la construction de savoirs professionnels. L’originalité de cette recherche est la convocation des travaux de Gaston Bachelard pour élaborer le cadre théorique permettant la lecture et l’interprétation des résultats. (shrink)

At the heart of natural language processing is the understanding of context dependent meanings. This paper presents a preliminary model of formal contexts based on situation theory. It also gives a worked-out example to show the use of contexts in lifting, i.e., how propositions holding in a particular context transform when they are moved to another context. This is useful in NLP applications where preserving meaning is a desideratum.